Disney, les disparus

Un mal de crâne me réveilla, je m'étais cognée sur une parois du bocal.

*Mais quelle est cette chaleur ? Gepetto aurait-il allumer un feu ? Je me souviens pourtant de la froideur de sa pièce de travail. Mais tout est tellement lumineux!*

Je me retournai et je découvris Basil, allongé dans le sable à côté de moi.

"Basil! Basil! Mais que fais tu là!? Où sommes nous donc ?"

Ah!

Je me mis a me frotter le crane

*Quelle est cette chose qui venait de me heurter la tête*

Je me redressai et vu quatre yeux qui me regardaient avec insistance et qui riaient aux éclats, je reconnu Basil et Cléo.

*Riaient-ils de moi ? Du coup qu'ils venaient de me donner?*

Basil, Cléo, que faites vous ici à Andalasia ?

je regardai autour de moi

Mais où sommes nous ? Pourquoi ne suis-je plus a Andalasia ? Pourquoi m'avez-vous frappé ? et qu'est-ce que Jane fait a côté de moi ?

C'est comme si une force mystique nous avez tous emmenés ici, il y a peut être des personnes qui vivent ici, ou bien d'autres qui sont arriver ici comme nous !

*Si Giselle donnait un coup de pied à Jane ? Moi et Basil n'auront jamais assez de force..*

Giselle ? Si tu essayais de réveiller Jane doucement ? Dis-je avec un ton qui sonnait un peu faux.

Voilà un moment que j'observais cette scène pitoyable derrière mon buisson. La niaiserie des gentil me donnais envie de vomir. D'un coup, je bondis de mon buisson avec souplesse et attéris juste à côté de la reine de la jungle.

* Quelle bande de lâche ces gentils ! Ils se carapatent dès qu'un méchant pointe de bout de son nez *.

Je n'avais aucune idée de la façon dont j'avais attéri sur cet îlot sordide mais une chose étais sure, je n'allais pas commencer à sympathiser avec ces pitoyables personnages.
Je poussais doucement la tête de Jane du bout de la patte. Sa beauté étais révoltante. Je ne puis m'imaginer qu'un misérable être humains puisse dégager autant de douceur. Je la hissais sans mal sur mon dos avant de me retourner instinctivement. Quelque chose venait de bouger derrière un buisson. Je me mis à grogner.

- Ça suffi, lâche ! Montre toi au lieu de m'espionner !

Je vis Basil s'enfuir et Giselle lui courir après en me laissant seule, derrière le buisson. Sans eux, j'étais obligée de rester là.

Maaais ... et moi ? Dis-je d'un murmure à peine audible.

En pensant à ce qui aller m'arriver, je ne put m’empêcher d'étouffer quelque sanglots. Quand, tout d'un coup, les feuilles laissèrent place à un énorme chat au regard cruel.

Je voulais hurler, mais je ne pouvais pas. La peur me pétrifiait sur place.

Qu'allais vous faire de moi ? Dis-je avec une telle faiblesse dans ma voix, que je n'étais même pas sur que le lion puisse m'entendre.

Je n'écoutais à peine ce que Basil était en train de me dire, je ne réagis qu'a son décompte. Je sautais dans ses bras,mais je vis qu'il avait du mal à me porter, car j'étais glissante à cause de l'eau.

*Faites qu'il fasse vite, je ne peux rester indéfiniment à l'air libre*

La souris me lâcha dans une eau de température différente à celle de mon bocal.

Oh! Il fait chaud ici! En tout cas, Merci Basil, d'avoir penser à venir me chercher.

Le sorcier était apparu à travers le sable. Cléo et Basil en avaient profité pour filer. Maudit sorcier !

- Tu es pénible Jafar tu m'as fait perdre mon déjeuner. Pour ce qui se passe, je n'en ai aucune idée. Maintenant si tu veux bien m'excuser, il faut que je trouve quelque chose d'autre à manger.

Je prononçais ces mot avec un tel calme que le sorcier fut surpris. Espérait-il m'effrayer ?